Nom : Jeleznaïa
Prénom : Serafima
Age : 24 ans
Surnom : pas de particulier... Chacun l'appelle comme il le veut, après tout. Sinon, Ser', Sera, Fim'...
Race: Humaine
Nationalité : Japonaise, anciennement Russe
Métier : Etudiante
Langue(s) maîtrisée(s): Russe, Anglais et Japonais... En gros, vu les efforts qu'elle met dans le non-apprentissage de cette langue.
Caractère : Serafima a l'air de passer sa vie à s'emmerder profondément. Le Japon ne lui plait pas, les japonais l'énervent, et tous ces russes de son entourage la font chier. C'est donc une jeune femme pleine de vie et au sourire radieux ,qui daigne se présenter de temps en temps à son université, qui maitrise suffisament le japonais pour faire ses courses, mais qui l'oublie aussitôt qu'un policier lui adresse la parole...
Et quand Serafima s'ennuie, au fait, elle s'énerve du même coup.
Physique : Serafima est une grande russe à la peau pâle, aux cheveux roux (qu'elle teint en rouge) et aux yeux bleus. Elle a les bras tatoués et porte toujours des vêtements qui les laissent découverts, mais n'ira jamais enfiler une jupe ou une robe, ni des chaussures à talons. Sa pièce vestimentaire préférée reste le kimono que des collègue de son père lui avaient offert : la superbe pièce fut déchirée en de longues écharpes qu'elle porte comme un foulard sur la tête, au grand désespoir de ses parents et de leurs proches.
Histoire : La Russie est un beau pays pour qui sait se débrouiller, parait-il. Le père de Serafima y a toujours cru, comme avant lui le père de son père et le père du père de ce dernier... Juifs russes, les Jeleznaïa ont toujours été partisans d'une intégration poussée et d'un commerce florissant.
Tout serait bien allé pour les générations à venir si le père de Serafima n'avait pas voulu agrandir la petite entreprise textile familliale. Pour ce faire, en homme d'affaire avisé, il préleva des emprunts à des particuliers, comme tout honnête homme ne faisant pas confiance aux banques pour gérer son argent honnêtement gagné.
Et quand les prêteurs revinrent chercher leur argent avec les armes au poing, Vassili Moshe Jeleznaïa préféra partir loin de son blanc pays, emportant sa famille et une valise de roubles dévaluées qui pourraient toujours l'aider un petit peu. Il débarqua ainsi au Japon, pas tout à fait par hasard puisqu'il y avait un... "Ami", pourrait-on dire, du moins une connaissance qui aida la petite famille à s'installer.
Serafima avait 12 ans à l'époque. Elle, elle n'avait pas envie de partir. Elle, elle aimait pas la bouffe japonaise. Elle trouvait pas ça pratique de manger à genoux. Elle trouva ça encore plus débile quand elle apprit qu'on mangeait avec deux bouts de bois.
Alors, en brave gamine pas capricieuse du tout et bien éduquée dans un milieu où on lui avait visiblement bien appris à se satisfaire de tout, la petite Serafima bouda. Il lui fallut quelques temps avant qu'elle ne reprenne le chemin de l'école, encore plus avant qu'elle ne maitrise suffisament le japonais. Ajoutez à celà quelques poignées d'auto-démotivation forcenée et vous obtenez une redoublante à problèmes mal intégrée.
Elle se désintéressa, par ailleurs, totalement de Kira. Certainement parce que c'était le sujet de conversation favori de tout le monde autour d'elle. Bon, totalement... Disons qu'elle fit mine de totalement s'en déstintéresser. Parce que quand même, un pseudo-dieu qui tue les criminels à distance sans qu'on ne sache rien de lui, c'est diablement intéressant. Elle n'approuvait pas particulièrement ses actes, comme elle ne les désapprouvait pas.
De toute façon, il parait qu'il était japonais, ce Kira. Elle le savait, elle, que les japonais n'étaient pas des gens dignes de confiance, ha !
Oui mais voilà, quand on vit au Japon, il faut faire avec ses habitants, pas vrai ? Aussi Serafima finit même par entrer à l'université de Tokyo, on ne sait pas trop comment, utilisant surement ses excellents résultats sportifs pour compenser le reste.
D'aucuns disent que l'argent de son père -maintenant bien installé dans son nouveau pays- ne serait pas étranger à celà. A vrai dire, Serafima elle-même ne sait pas comment elle a pu entrer au Tödai. Mais maintenant qu'elle y est...
...Elle a enfin une bonne excuse pour s'éloigner de ses parents et vivre dans son propre appartement.
Famille/ennemis/amis : Deux parents qui vivent aussi au Japon. Eux ont des amis, leur fille... N'en a pas. Pas d'ennemis déclarés non plus, d'ailleurs.
Arme(s) possédée(s) : Une batte de base-ball, ça compte ?
Objet(s) possédé(s): Un appartement à Tokyo, diverses choses dont un micro-ondes, des fringues et une moto.