Raymond L

Nom : Leblanc

Prénom : Raymond

Age : 43 ans

Surnom : 'monmon

Race: Morvandiau

Nationalité : Française

Métier : Technicien de surface

Langue(s) maîtrisée(s): Le Français !

Caractère : « Rayyyyyymoooooooooooond à table ! » « Rayyyyyyyyymoooooooond ou qu’t’as mis la télécommande ! » « Rayyyyyymooooooooond j’ai envie de faire l’amour ! ». Ça, c’est la vie de Raymond. Ça vous ferait quoi, à vous ? Lui, ça le rend aigrit. Raymond, c’est un Français comme vous et moi, qui aime le bon pain, qui gueule contre la délocalisation et qui vote à droite. Raymond, c’est un mec qui voudrait se faire Claudia Chieffer mais qui peut pas. Raymond, c’est un homme qui a économisé toute une vie pour avoir sa propre maison, et qui roule encore en R5. Bref, Raymond est un homme parmi tant d’autres.

Physique : Raymond a le physique de l’homme qui travaille pour nourrir sa famille. Disposant d’une solide bouée de sauvetage manuelle, ainsi qu’une calvitie naissante, il est le symbole de toute une masculinité perdue. De taille moyenne (grand, vous dira-t-il), il dispose accessoirement d’un nez cassé et d’un teint rougeaud. Malgré tout, Raymond est un séducteur ; la preuve, il a une femme, Régine, et deux enfants, Laura et Jérémi.

Histoire : Raymond est né à Planchez, en France, dans le Morvan. De naissance totalement banale, et grâce à la toute puissante et ô combien miséricordieuse présence Adminesque, je ne me permettrai que de citer ces quelques dates : a quatre ans, Raymond fait une mauvaise chute et se brise le bras droit. Il a très mal, mais sera guérit quelques mois plus tard. A douze ans, Raymond se prend son premier râteau. Il restera longtemps traumatisé. A seize ans, et avec l’aide de ses amis Kevin et Vincent, Raymond fume son premier spif. Les trois gaillards finiront ramassé par un fourgon de police qui passait par là. A vingt ans, la vie de Raymond change. Il rencontre Régine, et c’est le coup de foudre. En effet, la rencontre se passait dehors en plein orage, et Raymond était abrité sous un grand chêne. C’est Régine qui l’emmena d’urgence aux urgences, ou il y restera quelques temps, à cause de la file d’attente. Il sortira quelques temps plus tard, ne souffrant que de quelques brûlures à degrés divers. La seconde rencontre avec Régine fut tout autre ; elle se déroula au bahut. La, Raymond décida de montrer, je cite « qui qui porte la culotte », et partit faire la cour à la belle. Il termina la journée aux urgences, avec une double fractures à aux arcades sourcilières et avec une collection d’hématomes. En effet, l’actuel petit ami de Régine n’était pas de l’avis de Raymond. Mais Raymond vaincra deux mois plus tard, après que ledit petit ami se soit noyé alors qu’il pêchait au bord d’un lac. La suite de la vie de Raymond est des plus banale ; il eut deux enfants, la première, Laura, et le second, Jérémi.

Mais un jour, la vie de Raymond bascula. Leur fille, Laura, alors âgée de dix huit ans, commençait à se vêtir étrangement, se maquiller étrangement, et à parler encore plus étrangement. Un soir, alors que Raymond était couché, Régine le prit à parti.

« Raymond ! J’m’inquiète pour la p’tite ! Depuis plusieurs mois elle est pu elle-même, t’as pas remarqué ? Je l’ai suivi ce matin à son lycée, et bin tu croiras jamais ce que j’ai vu ! Elle a rejoint un groupe de gens habillés comme notre petite, et y se sont même pas dit bonjour, un y garçon s’est approché d’elle et y lui a dit un truc du genre « ho ah you Laura ça ma». Raymond, j’ai peur ! J’crois qu’la p’tite fait partie d’une secte ! »

« Mhgnnn… L’est jeune, s’t’une ado, dort. »

Et la discussion en resta là. C’est alors que le drame commença.
Régine se glissa un jour dans la chambre de sa fille, alors qu’elle était en cours. Et la, le drame. Aucun poster de Brad Pitt. Aucun poster de Johnny Depp, non. Rien de tout cela. A la place, une sorte de chose infâme, qui effraya Régine. « Mana » qu’y’avait écrit dessus. Les murs de la chambre en étaient recouverts, « Yoshida Kyodai », « Abingdon Boys School, » (qui ressemblait vraiment à une tapette, disons le franchement) et plein d’autres. Sur les étagères, des livres imprimés en noirs et blanc, et pire encore, à l’envers ! Et en plus, mal dessiné ! Mais alors ! Régine, au bord des larmes, préféra sortir et attendre que Raymond rentre du boulot pour lui en parler. C’est ainsi que la petite Laura, en rentrant à la maison, tomba sur sa mère en pleure et son père tenant sa ceinture à la main.

« T’es donc une sataniste bordel de Dieu ? Et que’qu’y’a dans ta chambre pour foutre ta mère dans s’t’état, hein ? Répond quand j’te cause ! »

Et une joute verbale s’engagea. La scène se termina avec un bon coup de ceinture bien mérité et une porte qui claque bien fort. Nan mais ho, qui qui porte la culotte, hein ?

Malgré tout, Raymond et Régine étaient de bons parents, et ne supportaient pas de voir leur fille dans cet état. Le lendemain donc, après que Raymond est défoncé la porte (Laura refusait d’ouvrir), ils eurent une grande discussion, et une question arriva alors aux lèvres de Raymond :

« Qu’est s’qui faut qu’on fasse pour que t’ailles mieux ma Laura ? »
« Aller au Japon ! » dit-elle, enjouée.
« Au quoi ? Jamais ! Y’a qu’des bridés là bas, et y nous bouffent le marché ! Y nous auront tous ! »
« C’est les Chinois ça papa… »
« S’pareil ! Y sont bridés aussi que j’sache ! »
« Papa… s’il te plait… »

Et c’est ainsi que, quelques semaines plus tard, la famille Leclec débarquait d’un avion venant de Paris et atterissant à Tokyo.

Famille/ennemis/amis : Régine, sa femme, Laura, son aînée et Jérémi le petit dernier.

Arme(s) possédée(s) : Un superbe couteau suisse Made In China (connards de bridés, ils nous auront tous !)

Objet(s) possédé(s): Une paire de tongs fétiches, une chemisette et un short « Magnum », un bob « Ricard » et un couteau suisse « MadeInChina ».

...

Hypos, c'est vraiment pas drôle (si, si, ya que toi pour faire un truc comme ca !) *dis ça mais est pliée de rire*.

Non, franchement, t'aurais au moins pu poster ça dans la partie de flood. Et qui t'as donné le droit d'me caricaturer, pour l'amour de Moi ! Non mais. Ca mériterait un bon coup d'Eclair Divin de la Très Haute Administration, mais comme ça m'a fait rire je vais faire preuve de clémence. Loué sois-je de te gracier, mais que je n't'y r'prenne pas,

PS: Si tu soutiens que les ABS sont des tapettes ça va très mal aller entre nous

Héhéhé, malheureusement ce n'est pas moi . Mais c'est pas loin. D'ailleurs, ça me caricature aussi, hein, et puis y'a des fautes qui m'arrachent les yeux ici et là... M'enfin, je connais le mécréant auteur de ce forfait

Désolé mais c'est pas Hypos.
Comme si Hypos était le seul pouvant faire preuve d'humour et d'un minimum de renseignement... Tsa. Mon coeur saigne, Deis

Ha, oui, Deis, j'oubliais : l'individu ci-dessus souhaite réellement jouer son personnage, même si c'est difficile à croire. Disons que même la France d'en bas peut avoir envie de gouter aux joies des carnets qui tuent

Je vous trouve sectaire, tous, là.

Shad ?

Hors de question le personnage n'a rien à voir avec l'univers de Death Note... Je ne peux pas l'accepter (pour qui me prenez-vous ? Je sais bien que ma réputation est au plus bas, mais c'est pas une raison pour oser bafouer mon autorité, non mais, x____x)

Et je maintiens que c'est pas drôle, misérable félon :p

Et voila ! Encore une preuve de l'autoritarisme ambiant ! On peut jouer une nana russe à moitié à poil, des japonais cinglés à tire-la-rigo mais un bon vieux Français on peut pas ! Vous n'êtes que de vilains sectaires, et je boude. Na.

Tire-larigot, shad, qu'on dit

Quant à, Hypos, quant à.

PS : Shazam, comme dirait l'autre.