Death Note
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 Lady Deis Rosencreutz, marquise des poisons

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Lady Dei
Invité




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MessageSujet: Lady Deis Rosencreutz, marquise des poisons   Lady Deis Rosencreutz, marquise des poisons Icon_minitimeVen 2 Mar - 7:22

Nom : Rozencreutz, officiellement Hargreaves.

Prénom : Deis

Age : 23 ans

Surnom : Marquise des poisons, Maître des Cartes.

Race: Humaine

Nationalité : Britannique

Métier : Etant marquise elle n’en a point, mais elle est officieusement Maîtresse d’une organisation criminelle dénommée le Rosen Order.

Langue(s) maîtrisée(s): Anglais, latin, grec.

Caractère : Deis est quelqu’un qu’on pourrait caractériser d’effrayante. Elle est toujours calme, même face aux situations les plus dangereuses. Elle parait froide, distante, presque indifférente tant son regard est morne. Jamais un sourire ne vient éclairer son visage, sauf lorsqu’elle atteint ses buts ou lorsqu’elle empoisonne quelqu’un. Elle se lasse vite, n’aime pas les relations sociales, n’aime personne, en fait, sauf peut-être les gens qui parviennent à l’approcher, la divertir, l’intéresser… Mais ces personnes-là finissent souvent par l’ennuyer, car personne jusqu’alors n’a su « jouer » avec elle sans finir étalé dans la cave de son manoir le corps couvert d’étranges taches bleues.

Bref, Deis est une personne qui n’aime que ses livres et ses fioles de poison, et n’a pas pour habitude de faillir à ses obligations. N’importe qui la considérerait comme une lunatique enfermée dans sa prison, conditionnée de telle sorte qu’elle puisse obéir aux lois de ses ancêtres. Une personne ennuyeuse et prévisible. Mais il n’en est rien. Si elle dirige l’Ordre c’est parce qu’elle l’a souhaité, si elle ne parle jamais aux autres c’est qu’elle aime que les choses soient ainsi, et si elle se débarrasse bien vite de la compagnie qu’on lui offre c’est bien parce que nul être n’est en mesure de répondre à toutes ses attentes. Vous êtes prévenus. Une seule remarque désobligeante et vous saurez à quoi vous en tenir, au moins. Evitez de prendre le thé avec elle…

Physique : Son corps est celui d’une femme à la peau blanche comme la neige. Son visage aux traits fins semble pur et angélique tandis que de fines mèches de cheveux blonds tels des fils d’or tombent sur son front orné d’un diadème d’argent. Ses yeux d’un vert étrangement doré semblent scintiller sous de fins cils dorés. Ses cheveux longs tombent sur ses épaules entourées d’une cape de soie noire accrochée à l’aide d’une broche en forme de rose. Elle est de grande taille et son corps est svelte. Elle porte une longue robe de l’époque victorienne qui laisse entrevoir la partie supérieur de ses seins et descend le long de ses jambes élancées en plusieurs étages de soie ondulée et ce jusqu’à effleurer le sol. Ses mains sont recouvertes de longs gants de velours noirs.

Lady Deis Rosencreutz, marquise des poisons Kafkafillert2

Histoire : Deis est née au sein d’une famille très spéciale dont le nom pourtant connu de tous est tenu secret depuis des décennies. Lady Deis Rosencreutz, sœur de Lord Jonathan Rosencreutz, Lord Zack Rosencreutz et Lord Antony Rosencreutz, du, tout comme ses frères, cacher son identité derrière le nom illustre des Hargreaves. Ainsi donc Deis Hargreaves était la quatrième enfant de Lord Isaac Hargreaves et de sa femme Lady Ashe. Tout ce joyeux petit monde vivait au manoir Hargreaves, une propriété des quartiers riches de Londres située au milieu d’un immense jardin férocement gardé par de braves personnes qu’on avait payées pour cela. Bref, Deis était une jeune aristocrate dont le destin était celui de ses ancêtres, c’est-à-dire d’être éloignée de la famille parce qu’elle était une fille.

Ainsi, dès son plus jeune âge, son père avait déjà décidé de son destin. Elle serait mariée avec l’homme de son choix, un être aisément influençable, et serait donc éloignée des affaires de l’Ordre et utilisée pour sauvegarder la « bonne image » des Hargreaves au sein de l’aristocratie. Car, bien évidemment, Lord Isaac était l’actuel Maître des Cartes, et il refusait de céder une tache aussi ardue que celle de diriger l’Ordre familial à une femme. Il s’était donc occupé personnellement de l’éducation de ses trois fils, cherchant à évaluer leurs compétences à des jeux innocents tel que les échecs par exemple. Le plus doué d’entre eux prendra sons doute sa place, et ses frères intégreront l’Ordre en tant qu’arcanes majeurs s’ils en étaient dignes…

Deis fut donc élevée par sa mère. Elle apprit à être une parfaite lady, et une charmante dame de compagnie. On l’éduqua pour qu’elle soit brillante dans ses études, on lui apprit la musique, le chant, l’art de la réception, de la danse et de la conversation, on soigna son apparence, on cherchait à la faire ressembler à une aristocrate moderne et à une future épouse parfaite. Mais cela ne lui convenait pas. Cela ne lui avait jamais convenu. Bien qu’elle obéissait docilement, elle souffrait de l’absence de son père. Il n’était jamais là pour elle. Ou plutôt : elle n’existait pas pour lui. Deis était une enfant intelligente, mais personne ne s’en rendait réellement compte puisqu’au fil des ans elle devenait de plus en plus asociale. Lorsqu’elle devait parler, elle débitait stupidement les paroles qu’on lui avait apprises, et en restait là. Ses interlocuteurs ne valaient pas la peine qu’elle leur dévoile plus qu’il n’en fallait…

Enfant, Deis fut donc triste et solitaire. Elle était passée du stade de l’incompréhension à la dépression, puis de la dépression à la résignation, et enfin de la résignation à l’ennui. Oui, elle s’ennuyait. Ce monde, elle ne l’aimait pas. Sa mère lui était indifférente, son père n’existait même pas pour elle, et ses frères la traitaient comme leur serviteur attitré. Elle était une femme. C’était ça son problème. C’était pour cela qu’elle haïssait son père et ses frères. Elle savait, elle, que ses frères avaient plus de privilèges qu’elle. Elle savait qu’ils auraient droit à quelque chose qu’elle n’aurait jamais. D’ailleurs, ses soupçons se confirmèrent durant son adolescence.

Devenue une jeune fille mélancolique qui obéissait à tous les ordres sans même broncher, l’ennuyeuse petite Deis eut droit à sa première véritable conversation avec son père qui lui expliquait –ou plutôt qui lui ordonnait – de commencer à fréquenter les soirées mondaines données dans les milieux privés de l’aristocratie. Sans doute espérait-il qu’à 15 ans elle soit déjà repérée par un noble qui finirait par la convoiter et l’épouser dès ses 18 ans. C’était pour cela qu’elle avait été élevée. Pour briller en société, être dérobée par la première main qu oserait la toucher, puis clouée sur un piédestal d’où elle pourrait contempler avec amertume le destin de ses frères, celui-là même qu’elle avait toujours voulu avoir.

Alors elle fréquenta les nobles. Elle dansa avec eux. Elle conversa avec eux. Parfois, ses frères allaient avec elle. Ils étaient juste là pour la balader et l’arborait fièrement. Cela ne fit que renforcer sa haine envers eux. C’est pourquoi elle devint de plus en plus froide et de plus en plus amère. Ce changement ne passa pas inaperçue. La froideur qui émanait d’elle lui valut d’être évitée. Sa compagnie, bien que recherchée, n’était guère appréciée : elle ne riait ni ne souriait, elle refusait de parler comme on le lui avait appris, et la haine qu’elle éprouvait avait enlaidit son âme, si bien que le reflet de celle-ci effrayait quiconque la regardait dans les yeux. Cette attitude fut sermonnée par sa mère, puis punie par son père qui, digne des plus psychologues, la gifla si fort qu’elle ne put jamais oublier le mépris et la douleur qu’elle avait éprouvé en ce jour.

Assoiffée de vengeance, Deis chercha un moyen de se débarrasser de sa condition de femme. L’humiliation qu’elle avait subie, et la déchéance qui peu à peu la menaçait lui donnèrent assez de force pour fouiller dans le bureau de ses frères et de son père. Elle savait qu’il y avait quelque chose qui les liait. Quelque chose qu’elle n’avait pas. Quelque chose qui faisait qu’elle était exclue. Elle était persuadée que ce quelque chose était matériel, qu’elle pourrait s’en emparer et arrêter sa longue agonie ! Ce quelque chose, elle ne le trouva pas réellement. Mais elle s’aperçut d’un fait très étrange. Elle avait découvert deux cartes de tarot dans les chambres de ses deux plus grands frères, Jonathan et Zack. La carte de la Lune, et celle du Magicien… Ce qui lui parut plus étrange encore, ce fut le fait qu’elle ne trouva absolument aucune autre carte du jeu de tarot. Etait-ce cela qui les liait ? Etait-ce juste ces fichues cartes ?


Dernière édition par le Ven 2 Mar - 7:45, édité 2 fois
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Lady Dei
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MessageSujet: Re: Lady Deis Rosencreutz, marquise des poisons   Lady Deis Rosencreutz, marquise des poisons Icon_minitimeVen 2 Mar - 7:23

Interloquée, la jeune fille laissa les cartes là où elle les avait trouvées, et se mit en tête de percer ce mystère. Elle eut confirmation de ses soupçons lorsque, ayant quitté discrètement l’une de ces ennuyeuses soirées destinées à la marier avec le premier venu, elle était retournée en secret au manoir. Elle fut témoin d’une réunion entre son père, ses trois frères et d’autres personnes qu’elle ne connaissait pas. Chacun d’eux avaient posés une carte de tarot sur la table, devant eux, et semblaient s’adresser aux autres par le nom de leur carte, et non par leur nom réel. Ainsi, ses deux frères étaient « la Lune », et « Le Magicien », et son père était…le « Maître des Cartes ». Deis pensa tout d’abord à une sorte de jeu, jusqu’à ce que le petit comité se mette à parler de choses étranges et sérieuses, d’expériences auxquelles elle n’entendit rien, puis de manières de se débarrasser d’une personne gênante…

C’est ainsi que l’idée lui vint. « Se débarrasser d’une personne gênante ». Ils lui donnèrent la réponse. La meilleure solution était le poison. Mais pas n’importe quel poison, non. Il y en avait de nombreux, tous différents. Des poisons… Pour la première fois de toute son enfance, un sourire étira les lèvres de la jeune marquise… Elle venait de découvrir l’existence d’un Ordre dirigé par son père dont faisait partie ses trois frères, et le moyen de se venger de l’humiliation qu’elle avait subie. Personne n’aurait pu se douter de ce qu’elle allait faire. Personne. Elle était sociopathe, et pourtant elle demeurait une simple jeune aristocrate lunatique qui passait son temps à lire et à écrire. Mais tout allait changer, maintenant. Tout. Cette famille allait bientôt apprendre à ne plus pouvoir se passer d’elle, à la respecter…à l’aduler…la craindre…l’implorer…

C’est donc ainsi que, tandis qu’elle allait vers ses 18 ans, la jeune marquise eut un intérêt soudain pour la botanique, la cuisine et le thé. Ses parents en furent ravis, et son père lui fit même des excuses et la félicita pour sa conduite, en ajoutant qu’elle était enfin digne de se trouver un époux, bien évidemment. Ce fut d’ailleurs ce qu’elle fit. Se serait sa couverture, le temps qu’elle mette au point son plan… Durant toutes ses années elle étudia avec ferveur les divers poisons, et surtout ceux que l’on pouvait fabriquer à partir des plantes. Elle apprit à les concevoir elle-même, à les doser avec précision et fit ses premiers essais sur les animaux qui lui tombaient sous la main : oiseaux, poissons, puis finalement chiens ou chats… Entre deux, elle fut mariée à un aristocrate deux fois plus vieux qu’elle, qu’elle manipula à sa guise et qui céda à ses moindres caprices…
Sa condition l’ennuyait tout autant qu’avant, mais elle savait que sa libération viendrait bientôt. Elle avait tout prévu, jusqu’au choix même de son mari. C’est ainsi qu’à 20 ans elle mit son plan machiavélique à exécution. Elle parla donc sans cesse à son mari de son immense fortune inégalée en Angleterre, du sang pur qui coulait dans ses veines, et des richesses secrètes que gardait son père et que, soi-disant, elle n’avait jamais eut le droit d’approcher. Au bout de quelques mois son mari fut suffisamment conditionné pour qu’elle l’amène subtilement à désirer la mort de sa famille, et l’héritage qui pourrait leur revenir… Cinq personnes à abattre, qu’était-ce face à une véritable fortune ?

Peu à peu, Deis se servit de son mari et fit de lui son complice dans le meurtre avec préméditation de ses parents et de ses trois frères. La méthode employée fut simple et efficace : elle chercha une coupable toute désignée, en l’occurrence une cuisinière aux ordres des Hargreaves qui avait été accusée d’avoir tenté d’empoisonner son fils alors que celui-ci avait idiotement mangé des baies empoisonnées, et s’arrangea pour que, lors d’un repas privé, sa mère et ses trois frères meurent par empoisonnement à l’arsenic. Tout se passa comme prévu : la cuisinière fut doublement accusée, puisqu’en plus d’être désignée comme coupable des meurtres on lui découvrit une liaison avec le marquis Isaac. Deis en fut ravie. Son mari aussi.

Cet acte inhumain, seule une Rosencreutz aurait pu l’accomplir avec tant d’indifférence. Cela, Isaac le comprit bien vite. Bien que la jeune Deis pleurait sur la tombe de ses frères, hurlait vengeance au tribunal et s’effondrait dans les bras de ses proches comme une femme à qui l’on avait arraché tout ce qui lui était précieux, Isaac ne pouvait se tromper. Mais contrairement à ce que le commun des mortels aurait pu penser, Isaac ne la haïssait pas pour cet acte. Sa fille avait accomplit là ce que nul de ses fils n’avaient jusqu’alors pu faire. Elle avait éliminé les personnes gênantes. Elle s’en était sortie sans aucun mal. Il l’admirait. Elle venait de gagner sa place au sein de l’Ordre…

Ainsi Isaac pardonna à sa fille, même si sa fille ne pardonna pas à son père. Il lui révéla absolument tout ce qu’il savait de l’Ordre, lui montra les pièces secrètes du manoir om il cachait d’anciens ouvrages, lui enseigna l’emplacement des laboratoires secrets de l’Ordre qu’elle put même visiter, puis la considéra définitivement comme sa future héritière. Elle fut formée en conséquence jusqu’à ses 22 ans, âge durant lequel elle prit conscience de l’importance du Rosen Order. Fascinée par les recherches de l’Ordre et ses progrès fulgurants, elle s’abandonna corps et âme au Rosen Order et contribua à ses progrès en effectuant des recherches sur la création de nouveaux poisons, son but étant de les rendre indétectables.

Malheureusement ses projets furent contrariés par son mari, à qui elle avait promis une fortune qu’il ne toucha jamais puisque son père était toujours envie. Et puis il y avait le fait que son père était le Maître des Cartes, et qu’elle ne pouvait donc que se plier à ses ordres, ce qui la dérangeait considérablement dans ses petites expériences. Alors elle fit preuve d’une diplomatie exemplaire et décida « d’éliminer les personnes gênantes », comme elle le faisait si bien. Elle fit donc en sorte que son mari assassine son père, et qu’il soit ensuite arrêté par la police. Il fut ensuite accusé du meurtre de toute la famille Hargreaves, et la cuisinière fut innocentée lorsque son pauvre mari avoua tout. Puis, pour finir son œuvre, l’impitoyable empoisonneuse joua sur ses relations pour faire tuer son mari en prison. Une petite bagarre, un clou enfoncé dans la gorge, et le tour fut joué. Elle était dorénavant libre de toute contrainte, et seule descendante des Rosencreutz.

Elle avait tout calculé. Elle savait que l’Ordre ne pouvait survivre sans son maître, puisque c’était lui qui finançait l’Ordre, et que comme la fortune de sa famille lui revenait de droit, les partisans de son père finiraient par la contacter. Ce fut chose faite. Moins de deux mois après l’enterrement de son père, durant lequel elle se laissa admirer pour son courage et pour ses larmes qu’elles tentaient de cacher, quelques arcanes majeurs vinrent lui rendre visite et ils discutèrent de l’avenir de l’Ordre. Ainsi donc elle accepta de devenir le nouveau Maître, et de diriger l’Ordre selon les préceptes de ses ancêtres. Elle leur prouva que telle était la décision de son père, et qu’elle était digne de supporter ce lourd fardeau.

Un an passa, et nul ne sut jamais que le « Maître des Cartes » était en fait une maîtresse, ni même que celle-ci avait abattu toute sa famille de sang froid pour en arriver là. Deis finança les projets les plus osés et les plus sombres qui soient, et dirigea d’une main de fer toutes les opérations de l’Ordre. Rien ne pouvait se dérouler au sein du Rosen Order sans son consentement, et ses partisans savaient de quoi elle était capable si l’on allait à l’encontre de ses décisions… Etant absolument amorale, les scientifiques de l’Ordre l’adulèrent pour les expériences tout à fait inhumaines qu’elle permettait, et sa réputation était partie pour égaler celle de SIN, le plus grand dirigeant du Rosen Order depuis sa création.

Puis il y eut l’affaire Kira. Ou plutôt « le retour » de Kira. Deis avait vaguement tendu parler de cette affaire qui s’était déroulée au Japon, mais étant bien trop occupée à préparer le meurtre de sa famille, elle n’y avait pas réellement prêté attention. Elle comprit son erreur lorsqu’elle réalisa que Kira avait le pouvoir de tuer juste en connaissant le nom et le visage de sa victime. Un pouvoir aussi formidable se devait d’être étudié, et en tant que digne Maître du Rosen Order, Deis fit quérir ses meilleurs chercheurs et leur fit parvenir un ordre de mission qui leur imposait d’étudier en détails l’affaire Kira afin que son pouvoir puisse être compris et utilisé par l’Ordre au nom des progrès de la science. Depuis, la jeune femme ne s’ennuie plus, et ne se lasse jamais d’étudier ses petits poisons, et ce pouvoir de tuer qu’elle convoite ardemment !

Famille/ennemis/amis : Deis est l’ultime descendante des fondateurs du Rosen Order, et n’a plus aucune famille en ces jours. Elle n’a aucun véritable ami, juste des pions à bouger sur le grand échiquier du monde. Non pas qu’elle se considère seule et isolée, mais disons plutôt qu’elle n’aime la compagnie que des êtres qu’elle juge dignes de la divertir, c’est-à-dire très peu de personnes. Ses ennemis sont ceux de la police, qui s’acharnent à vouloir empêcher l’Ordre de continuer ses expériences, et ceux qui s’accrochent à la morale au point de mettre en danger les progrès des sciences. Bref, tous ceux qui s’opposent à l’Ordre sont ses ennemis, et tous ceux qui osent être ses ennemis doivent périr. C’est ainsi.

Arme(s) possédée(s) : Deis est une femme qui aime la finesse. Elle déteste les armes à feu, et plus encore les armes blanches. Elle est en revanche très friande de ses petites fioles de poison qu’elle étudie avec tant d'amour.

Objet(s) possédé(s): Un pendentif symbolisant la Rose-Croix, ses fioles de poisons préférés qu’elle garde toujours sur elle, une carte de tarot qui prouve son rang de Maîtresse des Cartes.
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Céleste Gabrielle
Agent Double / Schizophrène
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Céleste Gabrielle


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MessageSujet: Re: Lady Deis Rosencreutz, marquise des poisons   Lady Deis Rosencreutz, marquise des poisons Icon_minitimeVen 2 Mar - 7:48

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