Erzebeth Leenaly Bathory

Nom : Leenaly Bathory

Prénom : Erzebeth ou Élizabeth

Age : 18 ans

Surnom : La Maîtresse des Cartes et la Sorcière aux Sept Poisons.

Race: Humaine

Nationalité : Transylvanienne

Métier : Étudiante en Histoire de l’Art à Oxford

Langue(s) maîtrisée(s): Polyglotte dans l’âme la jeune Gothique : Anglais, Russe, Français, Espagnol et Italien. Par contre elle ne saurait pas tenir une simple conversation en Japonais….

Caractère : Hautaine et d’aspect froid, Erzebeth se montre souvent méfiante envers autrui et préfère écouter les autres plutôt que de parler d’elle-même. Très vive d’esprit, elle aime à analyser les autres et les observer sans interagir avec eux. Apparaissant comme une personne distante, elle n’en aime pas moins la compétition et saura reconnaître la valeur d’une personne plus forte qu’elle. En effet, la rivalité la motive plus qu’autre chose et son désir de se montrer supérieure en tout domaine la rend parfois odieuse. Elle est d’ailleurs assez narcissique, détestant le laisser-aller de certaines personnes. Cependant, elle considère toujours avec attention les conseils des autres et sait donc se remettre en question. C’est une jeune fille persévérante qui peut dévoiler de l’attachement si on sait l’approcher… Un étrange contraste qu’exerce merveilleusement bien la demoiselle à ses heures perdues. En effet malgré son aspect morbide, elle arrive à porter sur elle des regards plus ou moins pervers, cela va sans dire. Mais la jeunette a un caractère de tigresse indomptable, elle n’hésite pas utiliser ses pieds et ses mains pourvues de longues griffes noires pour parvenir à mettre en défaite ses adversaires. Elle ne tolère aucunement les faibles, selon elle, leur existence est vouée à la destruction quasi-instantanée, qu’elle se plaira à accomplir bien évidemment. Adepte des sports violents, tels le self-défense, elle pourra ainsi canaliser sa très vive et atroce colère.
Mais encore là, un fait bien étrange, malgré cette humeur massacrante à ses heures, elle fait office d’un calme olympien face à une situation qui pourtant présagerait le contraire ! D’où le fait d’intensives séances de Yoga avec un coach personnel. La jeune gothique ne se refuse décidément rien quant à ses débauches excessives, niveau financières. Elle est décidée, elle achète, point barre, rien ne pourra la stopper. Narcissique au possible, elle ne pourra pas s’empêcher de se regarder dans un miroir ou toute autre verrerie du même acabit.
Extravertie, Erzebeth pourra l’être, mais seulement avec certaines personnes qui sauront la mettre en confiance et lui concéder une certaine attention péremptoire. Un regard de glace, mais possédant une personnalité de feu, une partie de ce que laisse entrevoir la jeune Transylvanienne. Cependant elle aime dans ses moments d’introspection très chers à son cœur se recueillir dans les cimetières, sacro-saints lieux de plénitude extrême. Elle aime lire et les épitaphes sur les différentes stèles et rester à rêvasser de longues heures qui lui semblent interminables, perchée sur un Mausolée.
Et tout ceci entraîne sa fascination presque maladive pour la Mort, elle ne se sépare pas de ses cartes précieuses de Tarot de Marseille, de Thot et celui des Anges. Son pendule venant du Tibet et purifié dans une source réputée, gare à celui ou celle qui ose mettre ses mains de païen dessus ! Mais dans sa complémentarité glauque à souhait, Erzebeth possède à sa grande satisfaction une marionnette, prénommée Kira et étant à l’effigie d’un certain héros. Là aussi, elle ne tolère aucunement un manquement à ses règles, on touche Kira, on paye le prix fort….
Son humeur est donc bien changeante comme les différentes saisons qui rythment le Calendrier Chrétien. Joie, Impulsivité, et bonne humeur d’Épicurienne sont autant contrecarrées par la Mélancolie, des envies sadiques voire perverses et une démence encore inconnue pour ses futurs détracteurs, autant masculins que féminins bien évidemment ! Ainsi donc voici l’étalage parfait d’une personnalité accessoirement torturée voire complexe…. Difficile à cerner au premier abord mais qui se révèle aussi tranchante et limpide qu’un Diamant ou du Cristal dès lors qu’on sache interpréter les faits et gestes souvent déraisonnés d’Erzebeth Leenaly Bathory…..


Physique : Une belle et frêle jeune fille, serait la première impression qu’elle donnerait, mais il n’en est aucunement le cas. Excessivement sereine et sûre d’elle, son port altier de sa Noblesse le démontre quand elle a affaire à ses détracteurs. Qui ne résisterait pas à cette figure angélique ?! Personne visiblement et elle s’en sert aveuglément, charmant obséquieusement autant garçons que filles. Ses grands yeux couleur de la plus pure des Absinthes ne sont là que pour rehausser sa certaine et imposante lignée. Des orbes d’une couleur assez inhabituelle dès lors que les rayons d’Hélios sont aptes à montrer des reflets certes mordorés, mais la rendant encore singulière par rapport à la masse informe dans laquelle elle évolue. Une allure gracile et élancée , - 1.68m - , la jeune Leenaly Bathory possède une taille fine renforcée par le port de corsets mettant sa poitrine d’une taille moyenne en valeur. Encore un style indépendant et forcé par rapport aux autres.
Une Lolita-Gothique ?! C’est ce qu’elle est, et elle le prône avec ses atours si sombres, des robes froncées de l’ancienne époque mais coupées stratégiquement au-dessus de ses genoux, pour laisser entrevoir le galbe de ses fines jambes. Des hautes chaussures compensées, noires de préférence ou restant dans les dominantes pourpres ou violines, sont prédilectionnés par la charmante demoiselle….Nombre de bracelets en argent, de boucles d’oreilles sont encore un accompagnement de sa tenue déjà bien voyante. Le visage aux courbes savamment dessinées est d’une teinte d’albâtre mais encore plus dénotée par le fait que la Transylvanienne se parre d’une poudre rendant encore plus blanche sa peau à la teinte déjà nébuleuse et lunaire.
De grands cils, décorés par du maquillage noir ou gris charbon selon les humeurs vient encore parfaire le tableau qu’elle peut démontrer… Un timide grain de beauté s’est faufilé sur la joue droite d’Erzebeth, lui conférant un air de poupée de porcelaine, toute droit sortie des boutiques évoluant sur les parvis de son pays, le siècle dernier. Elle n’aime pas le conformisme trop coloré de cette époque et se plaît à marquer une barrière entre les ères. Son style vestimentaire arrive à le prouver si facilement. Des fines mains que possède la Veuve-Noire que fut surnommée Erzebeth, se parent de longs ongles noirs apparentés à des griffes et parfaitement manucurés par elle-même. Des longues anglaises, de couleur ébène mais avec certains reflets moirés, lui arrivent à sa taille finaude. Ces longues mèches encadrant son faciès encore enfantin sont attachées par deux longs rubans noués de couleur bien noire.
Evidemment, noire jusqu’au bout des ongles, c’est ce qui est prépondérant chez la jeune Noble venant d’un pays bien oublié mais peuplé de légendes bien étranges….
Elle possède aussi des tatouages à divers endroits de son corps d’adolescente : un papillon de dentelle noire sur son aine côté gauche et une rose noire sur le dessus de son pied gauche. Les oreilles percées jusqu’aux cartilages mais aussi un piercing au nombril qui lui aussi est une rose, rouge cette fois-ci.

Histoire : Qui ne connaît pas la fameuse Bathory autrefois appelée Comtesse Sanglante dans ses heures de Gloire, qui n’hésitait point à faire souffrir de jeunes vierges pour sa seule et perverse satisfaction personnelle ? A en être jugée d’hérétique par le Clergé Hongrois tout entier d’ailleurs… Et à en emporter le secret dans sa tombe d’ailleurs….
Le même Château immense et austère à première vue, dès qu’on ose lever un regard sur cette immense bâtisse faite de pierres mais dont le soir, à l’heure tardive et prononcée de la nuit dans Lune, l’ont peut entendre les complaintes des ces jeunes filles sacrifiées vivantes pour cette femme totalement aliénée…. Mais si le patronyme maudit reste sur ses descendants, il n’en reste pas moins qu’ils en diffèrent totalement. Un jeune couple de Transylvaniens avaient établis leur domicile dans la demeure ancestrale que possédait la jeune héritière Bathory, le prestigieux mais pourtant bien lugubre, Château de Csjethe, se trouvant en haut d’une route escarpée où seuls les sabots d’un cheval et surtout d’un cavalier averti pouvaient entreprendre cette excursion qui s’avérait pourtant bien suicidaire pour le commun des mortels…. La jeune femme à l’allure si fine qu’on aurait dit qu’elle fut taillée dans du verre, sa peau si blanche, telle la Nacre la plus pure, et ce regard étrangement noir et pénétrant pourtant, avait fait tomber sous le charme, le jeune Aristocrate Hongrois Wolfram Leenaly Hunkel, ayant déjà un titre honorifique pour son jeune âge…. Des cheveux aussi blonds que le plus pur des blés, contrastant fortement avec ceux, si sombres de la demoiselle prénommée Darvania Bathory…Une entente fortement basée sur des points communs, surtout artistiques pour les deux Héritiers promus à un grand et brillant avenir. Comme il était coutume à l’époque et les lois en vigueur dans ces pays n’ont visiblement point changés, leur familles respectives avaient déjà orchestrées leurs fiançailles prévues pour le printemps prochain.
Deux pays réunis, pour une Alliance très forte en soi et ainsi parfaire encore la réputation de ce Continent bien ombrageux, baignant encore dans des légendes sordides, voire morbides.
Un Mariage, enfin, en ce mois de Mai, encore frais mais pourtant baigné dans une atmosphère chaleureuse, malgré le froid régnant en Maître incontesté et incontestable sur la Transylvanie entière… Une belle mariée, si belle au bras de son jeune mari fraîchement décoré de ses divers grades militaires, et lui tout souriant quand il fallait énoncer leurs vœux réciproques.
Un Futur donc apprécié et appréciable dans cet immense et noirâtre édifice que fut et sera toujours pour les autochtones transylvaniens, le Château de Csejthe. 9 mois pour attendre un merveilleux évènement qui comblerait à coup sûr les jeunes parents et ainsi encore augmenter la sphère de Liesse dans laquelle ils se trouvaient. Un mois de Mai, décidément symbolique pour les époux car c’est là que venait de poindre son fin nez la seule Héritière de sang noble, prénommée à juste titre Erzebeth Leenaly Bathory. Une petite frimousse déjà espiègle ressemblant traits pour traits à sa mère, mais portant tout de même les yeux et le caractère explosif de son père. Un petit brin de fille qui possédait déjà sa particularité dûe à sa lignée de sang-pur. Vêtue déjà de noir dès son plus jeune âge, ce n’était pas en grandissant que cela allait changer… Bien au contraire, là encore, elle était différente de ce qu’elle nomme les " étrangers "… Selon elle et malgré les protestations de sa mère en la matière, elle n’aimait pas s’amuser les autres, car elle considère que cela est une perte de Temps. Et que le Temps est comprimé dans un Sablier, dont les grains ne méritent pas d’être gaspillés….
Solitaire et ne s’en cachant pas de toute manière, elle préfère rester à gambader dans les Cimetières, lieux qui ne sont pourtant pas de son âge mais dont elle en prédilectionnera ses excursions extra-scolaires…A l’âge de 9 ans, elle connaissait par cœur les épitaphes et les maximes soigneusement gravées sur les pierres tombales de ses propres catacombes. Les fines lèvres s’étiraient joyeusement en un sourire bien mystérieux, lors d’enterrements de parents proches, ou même d’amis de cette famille bien étrange qu’elle doit supporter, leurs frasques et toutes leurs exubérances…Ce qui expliquerait cette trop grande fascination pour le morbide, et l’occulte…. Mais rien n’y fait, c’est inscrit dans ses codes génétiques et même une thérapie génique n’arriverait pas à lui faire changer d’avis ! Il est trop tard pour reculer…
Tout de même, la jeune Erzebeth poursuivait ses élucubrations et ses devoirs de jeune " princesse ", qu’elle déteste bien évidemment ! Mais le Protocole agit comme tel, et il faut qu’elle s’y plie et contre son gré qui plus est. Évoluant dans les écoles privées de jeunes filles où la mixité n’était point autorisée, elle savait déjà charmer les garçons et savoir faire en sorte que ses différentes enseignantes l’apprécient déjà et ne lui tiennent pas rigueur si la jeune fille faisait une bêtise…Bêtises souvent plus grosses qu’Erzebeth bien entendu…. Ses parents la voyaient grandir avec leurs regards d’adultes attendris devant la jeune Rose, sensuelle mais épineuse qu’elle allait devenir dans quelques années. Une Rose intransigeante, acerbe et noirâtre, et développant ainsi encore plus cet attrait pour la Mort. Un attrait qui lui vaudra moultes quolibets de la part des ses jeunes collègues de classe, déjà que son patronyme était lourd à porter sur ses frêles et délicates, il fallait donc en rajouter ! Mais la jeune Leenaly Bathory s’était déjà forgé un sale caractère…Qui ne plairait assurément pas aux jeunes garçons qui gravitaient déjà autour d’elle.
L’année décisive : l’année de rentrée au lycée, encore un lieu inconnu pour la jeune Héritière mais dont la cohue était insupportable à fixer à travers ses orbes Absinthes. Un lycée mixte cette fois-ci ! Les parents préféraient la mixité à l’adolescence de la jeune fille, vêtue de noir jusqu’aux bouts des ongles. Hormis le désintérêt propre à Erzebeth, il y a pourtant une rencontre qui va la " transfigurer " du tout au tout… Le jour de sa quinzième année, et bien sûr se trouvant dans le Théâtre possédé par son Institution, l’adolescente prenait un malin plaisir à explorer les endroits faits de planches et boudés par les autres élèves de l’établissement. Mais ce qu’elle ne savait pas encore c’est qu’un jeune garçon y avait établi ses quartiers. Un exclu de la Société, un paria, peut-être comme elle qui sait ?! Mais ce dernier était amoureux d’elle, depuis qu’il l’avait suivie lors de ses sempiternelles excursions dans le Cimetière voisin de sa demeure. Avec pour simple envie de lui offrir un gage de ce Sentiment si noble à son égard. Une marionnette bien étrange et assez grande faite dans une matière des plus belles au simple regard. Or ce pantin de bois, avait tout d’un petit enfant, à l’exception du visage. Peut-être était-ce la volonté propre de son créateur de ne pas lui en donner ?! Qui sait…cela restera un Mystère….Une poupée sans visage prénommée à juste titre Kira. Un secret que le jeune sculpteur emporta dans sa tombe. Le premier et le dernier cadeau qu’il pourra lui faire d’ailleurs…..Grâce à cela, et pour lui faire honneur, elle s’inscrit dans un Club de Théâtre où elle put se produire avec cette étrange marionnette si chère à son cœur…
Des parents toujours aux quatre coins du Globe Terrestre et donc qu’elle ne voit plus, car ils l’estiment assez grande pour se débrouiller seule. Mais il reste tout de même son oncle et sa tante au pays, qui arrivent à l’épauler quand cela ne va point. Elle se débrouille comme elle le peut, de toute manière, débrouillarde et sûre d’elle, elle fait tout pour ne pas que l’on entrave sa route un peu chaotique cela va sans dire…. Une Vie bien morne, à l’image de ce qu’elle veut donner à ceux qui oseraient lui parler en face, chose qu’il ne faut pas faire quand la demoiselle est de mauvais poil ! Ce qui est chose fréquente !!!!
Des évènements qui ont eu vent en Transylvanie d’ailleurs. Il y aurait eu un Messager de Dieu sur Terre ?! Présent seulement pour faire sa propre Justice ? Quand bien même, c’était le cadet des soucis de la jeune Erzebeth qui n’en avait cure de toute manière. Mais le phénomène avait pris de l’ampleur à tel point que toutes les nations en parlaient et indubitablement même dans son pays retranché, elle ne passerait pas à côté…. Mais à l’heure d’aujourd’hui, celui possédant le même patronyme que sa marionnette adulée aurait disparu. N’ayant jamais vu l’ombre d’un visage qui se prétendait à juste titre être le Messager de Dieu et ainsi faire un monde à son image. Un monde pur et sans vices… Une magnifique mais si splendide Utopie.
Mais la jeune Transylvanienne restera toujours sceptiques quant aux agissements d’un prétendu Dieu. Enfin, là n’est pas son problème désormais. Comment aduler quelqu’un qu’elle n’a jamais vu ?! Il est vrai qu’il fut encensé par ses partisans et détesté par ses opposants… Triste monde qu’est celui dans lequel elle évolue. Mais il faut bien faire avec ! Et elle n’est pas la seule à le penser. Toutes ses spéculations internes lui faisaient donc comprendre qu’il fallait bien qu’elle change d’Atmosphère, d’air, de pays…. Car un étrange malaise se faisait sentir. Elle ne saurait se l’expliquer, mais elle avait un étrange pressentiment, comme si bizarrement elle était attendue quelque part. Alors qu’elle n’en avait pas fait la demande au préalable…. Comme quoi la vie humaine est vraiment trépidante quand elle est susceptible d’intérêt. Quitte ou double pour ce qu’elle allait entreprendre ! Elle n’avait rien à y perdre mais tout à y gagner. Ce qui n’est pas négligeable non plus. Alors pourquoi ne pas tenter sa Chance ailleurs et faire en sorte de réussir tout ce qu’elle entreprendra par le Futur ?! Son Passé est révolu, elle le laissera à tout jamais derrière elle….
Erzebeth allait tout baser sur les aptitudes de son pendule tibétain adoré. Un pendule trempé dans une source réputée de ce pays aux us et coutumes passionnants Qui allait servir pour un déterminisme prépondérant et indubitablement parfait. La jeune Transylvanienne allait laisser choisir le Hasard et voir où ce dernier la conduirait. Elle devra s’y plier, qu’elle le veuille ou non. C’était inscrit dans les règles qu’elle s’était fixé dans sa tête d’adolescente et elle ne dérogera pas à ses principes depuis bien trop longtemps ancrés….Et ce n’est pas aujourd’hui que cela allait changer. Allait-elle avoir la main heureuse au Jeu ?! Intérieurement elle l’espérait, et c’est donc en fermant ses yeux couleur de Fée Verte et pointant son pendule sacré sur une immense carte qu’elle avait déployée qu’allait se jouer son Destin….
Attendons patiemment que le Destin tire les cartes cette fois-ci de la jeune Noble et qu’Il les dévoile devant ses yeux d’ahurie notoire ! L’Angleterre….L’Ile Britannique et charmante….Plus exactement dans la banlieue d’Oxford, de toute façon, elle ne serait pas à la rue, vu qu’une maison de vacances, une parmi tant d’autres de ses géniteurs s’y trouvait.
Que demande le peuple après tout ?! Elle savait déjà quelle matière serait essentielle : l’Histoire de l’Art… Elle allait donc s’en donner à cœur joie ! C’est donc en emportant toute ses fioles empoisonnées, ses cartes de Tarots tellement précieuses, que si jamais on y touche, on est certain d’avoir le mauvais œil à jamais….et sa marionnette sans visage mais susceptible d’intérêt : Kira ! Mais la jeune Erzebeth ne sait pas encore ce qu’il adviendra de son Futur, ni comment y remédier… Car à chaque secondes, minutes et heures écoulées, son étrange pressentiment ne faisait que s’accroître…..

Famille/ennemis/amis :[/b] Un père et une mère toujours en vadrouille aux quatre coins du Globe Terrestre. Des Amis ?! Elle n’en a jamais vraiment eus de toute façon….et Ennemis… Peut-être ! Elle ne le sait pas et elle s’en contrefiche de toute manière…

Arme(s) possédée(s) : Une kyrielle de fioles contenant les plus atroces Poisons jamais connus….

Objet(s) possédé(s):
- Une marionnette inquiétante mesurant dans les un mètres et quelques poussiéreux centimètres, faite en bois et articulée pour la rendre encore plus vivante. Cependant son visage n’existe pas, il n’est pas encore sculpté par la demoiselle. Le pantin de bois se prénomme Kira…
- Un nombre incalculable de Tarots tous aussi différents les uns que les autres : Thot, Marseille, des Anges….

Validée validée validée... Bon, une empoisonneuse... C'est pas comme si j'étais pas habitué...
*regard suspicieux à la boite de chocolats qu'il vient de recevoir*
...D'ailleurs, tiens, j'ai décidé que désormais je donnerai tous les chocolats que je reçois à l'hospice le plus proche. Héhé.
Fiche acceptée donc

Niah merci mon bon Hypos ! ^.^

Mais dans ta frénésie de validation, n'aurais-tu pas oublié à Anku et à moi de nous mettre nos groupes ? ^^'

PS: Pourrais-je prendre sous ma tutelle le Rozen Order ? ^^

Ha oui. Les groupes.

*bougonne*
Oui bon grmpf hein tout le monde peut oublier, moi j'suis pas un admin groupiste, hein, d'abord je...
*finis de bougonner*

J'y vais, j'y vais. Pour le Rozen Bidule, j'pense bien que oui, tu peux le reprendre