Death Note ~ Ce monde est pourri, et les personnes qui le pourrissent devraient être annihilées afin de le purger ! ~ |
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| Bill Johnson | |
| | Auteur | Message |
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Bill Johnson Agent de la mafia russe
Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 25/01/2007
| Sujet: Bill Johnson Sam 3 Fév - 15:59 | |
| Nom : Johnson
Prénom : Bill
Age : Inconnu
Surnom : Bill the Butcher
Race: Humain (Plus tellement)
Nationalité : Ecossais
Métier : Médecin Parapsychologue (radié), agent de la mafia russe
Langue(s) maîtrisée(s): Anglais, Français, Russe, Japonais, Grec ancien, Latin, Maya.
Caractère : Son caractère est assez simple, basique : content quand tout va bien pour lui, pas content quand ça ne va pas bien. Il examine les situations avec calme et se livre après à ses sentiments, et est souvent excessif dans ses manifestations. Légitimement, il a tendance à se méfier des gens qu'il ne connaît pas, et fera tout ce qui est en son pouvoir pour s'approprier un spécimen qu'il juge intéressant pour ses expériences.
Physique : Ni trop grand ni trop petit. Un mètre soixante-douze, et un teint de peau assez pâle. Il a des cheveux blonds ébouriffés, plus par manque d'attention que de coiffure. Ses yeux sont de couleur rouge, ce qui est dû à une erreur génétique; mais cela ne change rien à son acuité visuelle, qui est excellente . Son corps est couvert de tatouages et de scarifications; seuls quelques tatouages sont visibles quand il découvre ses bras. Il a le teint souvent pâle, glauque, maladif, mais est doté d'une vivacité qui prouve bien qu'il est en parfaite possession de ses moyens. Sa musculature n'a rien d'exceptionnel, il est juste équilibré. Quelquefois, à son cou, on pourra voir pendre une chaînette argentée bardée de pointes acérées. D'ailleurs, nombre d'endroits de son corps sont enserrés de bandages. Il affectionne les vêtements de voyageur, de baroudeur; il a gardé de nombreuses tenues de ses différentes expéditions, mais il porte le plus souvent une veste d'aviateur de cuir noir.
Histoire : Une enfance passée dans la petite bourgeoisie écossaise. Une éducation stricte et sévère, dans nombre d'écoles privées, où il apprit toutes les matières qu'un jeune homme de bonne naissance se doit de savoir : de multiples matières scientifiques, la littérature ancienne, et de nombreuses langues. Le jeune Bill passait ses journées à étudier, ne prêtant aucune attention à ses camarades de même âge, délaissant les filles, ne s'occupant que d'amasser toujours plus de connaissances. Le père de Bill, archéologue et ethnologue, adepte de l'ancienne école, voyait le comportement de son fils comme une preuve de l'efficacité de ses méthodes éducatives. Mais le fait qui le troubla fut de le voir s'intéresser à ses travaux, vers ses treize ans. Le jeune garçon lisait livre sur livre, mémoire sur mémoire, thèse sur thèse, et semblait se prendre d'un grand intérêt pour toutes les civilisations disparues. D'abord intrigué, son père se félicita de cet engouement pour les sciences qu'il affectionnait lui aussi. Il décida donc de l'emmener avec lui lors d'une expédition en Amérique du Sud. Avoir un fils qui ne montrait jamais ni joies ni peines, c'est déroutant, mais on s'y fait. Le voilà surexcité, que penser ? Durant tout le voyage, Bill s'était plongé dans un lourd recueil relié de cuir, apparemment assez vieux, qu'il avait obtenu auprès d'un ancien usurier gâteux qui n'avait plus toute sa tête; son père ne savait bien sûr rien sur cet ouvrage, et Bill le gardait farouchement. Inquiet au départ, son père finit par se dire que cela était sûrement dû à l'idée de découvrir de nouveaux horizons. Dès leur arrivée à Chichén Itzá, Bill se montra frénétique et participa activement aux travaux archéologiques dans l'ancienne capitale Maya. Devant un tel intérêt, et surtout devant ce que son père prit pour une vraie "résurrection" de son fils, il l'emmena dans toute la péninsule du Yucatán. Bill eut de longues discussions avec son père sur de multiples sujets historiques, qui était ravi d' enfin pouvoir partager sa passion avec son fils. Mais son plaisir fut de courte durée. A la suite d'une expédition vers le centre du cratère de Chicxulub, énorme cratère d' environ 200 kilomètres de diamètre, Bill tomba...malade ? Frappé d'un étrange mal, il sombra dans l'inconscience. Son corps agité de spasmes restait froid et rigide, malgré les soins de l'équipe, pourtant réputée. Ils furent obligés de monter un camp à l'orée d'une imposante forêt se trouvant vers la côte Nord du Yucatán. Près du centre du cratère. Bill resta inconscient pendant trois jours. Son teint pâlit, ses cheveux décolorèrent pour la plupart. Le médecin du groupe restait sans voix devant un tel cas. Sa..."fièvre" semblait lui faire perdre toute consistance. Mais, à l'aube du deuxième jour, quand le médecin se réveilla au chevet de Bill, le jeune homme n'était plus là. Parti durant la nuit, il avait pris des provisions et du matériel dans la réserve, et avait placé des poteaux de balisage posés sur l'herbe humide; ils indiquaient une direction, qui s'enfonçait au coeur de la forêt. Les traces étaient laissées en évidence, comme pour faciliter la recherche du jeune homme. L'équipe, d'abord surprise de cette disparition inopinée, se réorganisa assez vite, sous les ordres inquiets du père de Bill. Ils levèrent le camp aussi vite que leur bras le purent, et se mirent en route, à travers la forêt étouffante, à l'atmosphère moite et inquiétante. Des balises étaient plantées à distances régulières, enfoncées dans un sol de terre glaise se faisant de plus en plus collant et bourbeux au fur et à mesure qu'ils avançaient. En t^te se trouvait le père de Bill, qui ne perdait pas espoir de retrouver son fils. La forêt se faisant de plus en plus touffue, ils progressaient tant bien que mal quand un des porteurs indigènes trébucha sur quelque chose. Après examen de la chose en question, ils virent qu'il s'agissait...d'une souche. Le groupe ne sut quoi dire : une souche d'arbre, coupé à la hache, en pleine forêt sensée être inhabitée ? Il est vrai qu'au fil du temps la souche avait été recouverte par les mousses, mais le fait était là : un arbre avait été coupé. A la suite de leur progression, ils en découvrirent d'autres jusqu'à tomber dans ce qui avait dû être une clairière : arbustes et plantes grasses s'y étaient installées de nouveau, mais on pouvait nettement distinguer dans la brume moite des vestiges d'installations en parpaings. En ruines. Brûlées, à en croire les traces. Mais ce qui leur parut le plus étrange fut les quelques squelettes humains qu'ils y trouvèrent, parfaitement nettoyés par l'activité des petits habitants de la forêt. Beaucoup d'entre eux portaient les marques de morts violentes : crânes fracassés, cages thoraciques enfoncées, membres brisés... Pas un seul cri d'oiseau, pas un seul bruissement d'arbre dans cette clairière. Un des collègues du père de Bill émit soudain un bruit de surprise. Il avait compté les poteaux de balisage plantés le long du trajet qu'ils avaient emprunté : il y en avait beaucoup trop pour qu'un adolescent, malade de surcroît, pût en emporter autant ! Cette remarque laissa un silence anxieux s'installer dans le petit groupe, personne ne savait que penser. Étaient - ils seuls ?
« - Quelle merde ! S'écria le guide mexicain. Je ne connais pas bien la forêt, et maintenant on tombe sur ce cimetière à ciel ouvert ! Quelle mouise... mes tarifs vont augmenter, monsieur John, vous en êtes conscient ? »
L' intéressé ne répondit pas. Il fixait d'un air pétrifié un objet sur un des squelettes. Les autres s' approchèrent, visiblement inquiets, en l'assaillant de questions. Le professeur leva un doigt tremblant vers les côtes du squelette. Les regards se portèrent dessus. Une croix de fer, un des plus grands insignes militaires nazi. Tous se figèrent. Certains commencèrent à s'exciter, prétexant la découverte du siècle, et pourquoi pas du trésor caché des nazis ? Le reste se consultait du regard, apeurés, perplexes, perdus dans leurs pensées. Le même professeur qui avait découvert l'ambigüité de la disparition des poteaux de balisage remarqua qu'une caisse blindée avait été forcée récemment : un pied de biche rouillé gisait à côté, tordu; le couvercle de la caisse, lui, avait été arraché de ses gonds. L'intérieur rembourré laissait penser que le contenu devait être précieux, ou fragile. Ils se questionnaient mutuellement sur la nature probable de ce contenu quand une explosion retentit dans la forêt. Le contenu ne faisait plus aucun doute : de la dynamite. Ils n'en avaient pas emportés avec eux, et cette caisse en était le conteneur rêvé.
Une grotte sombre. Des ossements insignifiants. De la poussière, des toiles d'araignées. Une perte de temps. Ce n'est pas ici qu'il trouverait ce qu'il cherchait. Foutus plans ! Si seulement cet officier avait un peu plus pris soin de ses paperasses avant de « défoncer » ses subalternes à coup de clé de 42. Quelle négligence. Il ne méritait pas de vivre, après tout.
Bill s'extirpa du trou fangieux où il s'était engouffré quelques minutes auparavant, ne se souciant pas de la crasse collante qui s' agglutinait sur ses vêtements en loques. Il se dirigea vers le bâtiment principal, en ruine comme cela se devait, et retourna dans le bureau de l'officier. Il enjamba le tas d'os et se fixa devant la carte cloué sur le mur, dans son cadre de verre; celui-ci avait résisté aux intempéries, et Bill n'avait eu qu'à arracher les plantes grimpantes pour la voir. Il traça un nouveau trait avec son doigt sur la fine couche de crasse, rayant une nouvelle grotte parmi celles indiquées. Après avoir vu les coordonnées de la suivante, il se remit en route.
« -Êtes vous sûr que c'est mon fils ? Regardez le ! On dirait un.. handicapé mental. Il avance comme s'il avait quatre-vingts ans ! Et dans quel état il est... Qu'à-t-il bien pu se passer ?!
Si je le savais, monsieur... » | |
| | | Bill Johnson Agent de la mafia russe
Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 25/01/2007
| Sujet: Re: Bill Johnson Sam 3 Fév - 15:59 | |
| Bill regardait son fils d'un air ahuri. Cet adolescent hébété était-il réellement la chair de sa chair ? N'en pouvant plus, il se précipita vers lui. Sa course désespérée ne fut, hélas, pas couronnée de succès. L'homme courant dans les herbes hautes ne pouvait se douter que le terrain était miné. Et que les mines étaient encore opérationnelles. Un cliquetis, un cri de surprise, une détonation. Un bruit de chairs qui se déchirent, de bouts de métal traversant un corps, de sang qui bouillonne. Un râle s'élève du corps agité de spasmes du professeur John. Sous les yeux horrifiés des membres de l'expédition, le professeur, sans jambes, s'éteint dans un râle. Pendant ce temps, Bill regardait la scène d'un air las, visiblement blasé. « - Quel abruti ! Ne pouvait-il pas regarder où est ce qu'il mettait les pieds ! Vraiment, quel comble. Et ça se vante de savoir marcher alors que ça perd ses jambes en courant. C'est cocasse, vraiment. » Bill se baissa, ramassa un des poteaux de balisage qui traînait. Pétrifiés, horrifiés pas la scène à laquelle ils venaient d'assister, les spectateurs étaient pétrifiés. Mais ce n'était pas tout : Bill marchait vers eux, sa présence était terrifiante. Ils ne savaient pas pourquoi, mais leurs membres ne voulaient pas obéir. Le jeune homme marchait nonchalamment vers eux, de sa démarche pataude, au son des déclics des mines. Qui n'explosaient pas. Le professeur Carter fermait les yeux; Que se passait-il ? Cela ne devait pas se passer comme ça ! Il ouvrit les yeux, le poteau de balisage s'abattit. Quand il revient à lui, la première chose qu'il ressentit fut une vive douleur au crâne. Il ouvrit les yeux, en attente d'un éventuel second coup de poteau. Noir. Le noir le plus complet, mais il entendit les souffles rauques de ses camarades à proximité. Il ouvrit la bouche pour alerter ses camarades, mais un sifflement gras sortit de sa bouche, suivi d'une douleur intense et d'un goût de sang fade dans sa gorge; il se mit à tousser violemment. Pendant qu'il toussait du sang, Bill descendait dans la crypte, une torche à la main, allumant les diverses lampes à pétrole se trouvant sur les murs, jetant un regard apitoyé à Carter qui tentait de reprendre son souffle. « - Je serais vous, mon pauvre Carter, j'éviterais de trop « parler ». Tout du moins, essayer : ce serait inutile, sans vos cordes vocales, non ? En fait, je m'en fiche totalement. Faites ce que vous voulez, après tout. C'est voter gorge, pas la mienne. Ceci dit, il serait temps que je me mette au travail » La pièce maintenant éclairée se dévoilait aux yeux des « invités ». Une grande crypte aux murs percés par de nombreuses alcôves, où se trouvent parfois des restes indéfinissables, des ossements, des objets cassés. Dix « tables » en pierre sombre sont disposées en cercle dans la pièce, toutes tournées vers le centre, où se trouve un creuset poussiéreux. Des rainures gravées dans la pierre dessinent des silhouettes humaines sur les tables et dans les alcôves; Carter eut à l'esprit l'image des silhouettes de craie tracées sur les lieux d'un crime. Il avait beau adorer les films policiers, il n'aimait pas du tout ce qui se passait là. La douleur lancinante de sa gorge fut si terrible à cet instant qu'il s'évanouit. Bill continua de s'affairer, en plaçant pals, piques, crochets, pinces, couteaux rouillés dans la pièce. Quand un autre membre s'éveilla, lui aussi étourdi par la douleur de son crâne, il était attaché sur une de ces tables de pierre, froide, si froide. Chacun des cinq membres restant de l'expédition étaient attachés sur des tables similaires, et semblaient plus ou moins hébétés. Il jeta des coups d'oeil, effrayé, sur toute la salle. Son regard se glaça à la vue d'un corps mutilé : tous les membres étaient ouverts en leur longueur, laissant voir les os, l'homme avait été égorgé puis éventré. Le corps sans vie pendait au-dessus du sol, attaché par des chaînes au plafond. Du sang ruisselait sur le sol, brillant, reflétant la lueur orangée des torches. Le corps déchiqueté, décapité, se vidait de son sang qui tombait dans le creuset au centre de la pièce. Celui-ci, pourtant aussi gros qu'un saladier, ne semblait pas déborder du sang qu'il recevait. D'ailleurs, un seul corps humain ne contenait pas autant de sang... Bill s'attelait à sa tâche de plus en plus frénétiquement. L'officier SS de la section de recherche paranormale avait laissé peu de notes, il lui fallait trouver la clé de cette porte. Et vite, il n'en pouvait plus. Il devait passer de l'autre côté. IL l'appelait. IL le voulait. Et il devait LUI obéir. Une chance que les soldats s' entre-tuèrent quand ils découvrirent ce qu'ils étaient en train de mettre à jour. Il devait être le seul à franchir cette porte. MacMally ne comprenait pas. Pourquoi était-il attaché? Ou était-il ? Et d'une manière plus horrifiée, qui était le tas sanguignolent accroché au-dessus de sa tête ? Et pourquoi le fils du patron était-il si atrocement mutilé mais semblait si calme ? Il devait agir. Tuer le fils du patron, et se barrer d'ici, vite fait bien fait. Ses liens semblaient desserrés au niveau de ses poignets? Il regarda son poignet droit, et effectivement le noeud, à portée de main, était plutôt lâche que bien serré. Le hachoir lui trancha justement ce poignet là au niveau de l'articulation. La douleur, une lumière intense, un... autre monde ? Puis, plus rien. Une équipe de secours, inquiète que la balise de l'équipe du professeur John ne réponde plus, fut envoyée sur les lieux des dernières émissions de signaux de la balise. Ils y retrouvèrent Bill, couché dans l'herbe, apparemment depuis quelques temps déjà . Le reste de l'équipe scientifique fut retrouvé en suivant les nombreuses traces, totalement déchiquetés, ainsi qu'un groupe de quatre pillards, morts eux aussi apparemment dans d'affreuses circonstances. Ils semblaient avoir été vidés de leur sang après une mort violente, tout comme les scientifiques aux membres coupés. Le corps du professeur John restait introuvable. A la suite de cet événement, la suite passa très vite. Quelques années sans incidents en centre psychiatrique pour le remettre de son choc, et il semblait bien se remettre. Il passa brillamment des études de médecine et de sciences paranormales, et obtint haut la main son diplôme de parapsychologue. Après quelques années dans divers établissements, il atterrit à l'hôpital Saint-Ange, où il exerça son métier peu de temps, quelques mois tout au plus, avant de se faire radier : ses travaux « personnels » ne plaisaient pas à tout le monde. Malgré tout, il semblait bien que les tendances du jeune Bill étaient de nouveau à l'affiche. Alfred Kammer, médecin généraliste, n'apprécia pas vraiment ses recherches sur des sujets humains vivants. A la suite de son « remerciement » par le gouvernement, il disparut de la circulation. Les meurtres de Kira furent pour lui une véritable révélation. Et si ce..livre, le Death Note dont il avait entendu parler dans le milieu de la mafia russe, était une porte envoyée par son maître ? Il avait mis à jour deux autres portes similaires à celle du Mexique. Mais il manquait de moyens. Ce Death Note lui en fournirait. Il avait fait une entrée aussi fracassante que bruyante dans la mafia russe. Il avait vite pris du galon, et s'était taillé une solide réputation, comme quoi il fallait y aller au fusil antichar pour espérer le blesser. Ce qui n'était pas si faux, en soi! Son corps n'était plus qu'un instrument à SA volonté, vide et dénué de toute sensation. Seule sa volonté persistait, plus forte que jamais. Bill devait se trouver un Death Note, et exterminer sans exceptions ceux qui se mettraient en travers de sa route. Il regardait d'un très mauvais oeil toutes ces larves des organisations tournant autour des Death Notes, quels qu'ils soient, pour ou contre tel ou tel principe dont il n'avait que faire. Les instructions de son ancêtre, ancien médecin-chef de l'hôpital psychiatrique de Londres, étaient on ne peut plus claires : le seul exemplaire des instructions restant détaillait toutes les opérations. Ce livre est un vrai bijou aux yeux de Bill, une monstruosité d'inhumanité aux yeux des autres; tous les exemplaire sauf un furent brûlés. Tous les moyens seront bon pour arriver à cette fin, peu importe les sacrifices, peu importe ce qui l'entoure : il se devait de lancer une nouvelle ère, de montrer le vrai monde à toutes ces créatures insignifiantes grouillant à la surface de la planète. Son aïeul avait presque réussi avec un cocher, et lui allait atteindre le premier stade gardien s'il n'avait été grossièrement interrompu par Kammer. Il devait trouver un Death Note, se rendre à une porte, muni du livre et du sang d'un Gardien. Et surtout, ce qui était l'ultime tâche de sa vie, Bill devait écrire de sa main son propre nom dans le carnet noir, une fois tous les composants réunis. Famille/ennemis/amis : Ennemis : Alfred Kammer, contre qui il a une certaine rancune, et tous ceux qui trouveront une raison de lui en vouloir ou qui voudront le gêner. Amis : Lui . Famille : une vieille mère totalement oubliée et renfermée au fin fond de l' Ecosse. Arme(s) possédée(s) : Il utilise généralement deux armes : Un revolver Taurus Raging Bull 6 coups de gros calibre, et son corps. Il n'est peut-être pas particulièrement doué pour les arts martiaux, mais il est doté d'une force et d'une constitution à toute épreuve. Ses coups font mal, très mal; les pillards mexicains en firent les frais quand Bill défonça leurs cages thoraciques à coups de poing. Objet(s) possédé(s): Un revolver Raging Bull, un grand manteau long doublé d'une cotte de mailles, de plaques de céramique et de kevlar, un livre relié de cuir qu'il a tout le temps sur lui.
Dernière édition par le Dim 4 Fév - 8:04, édité 1 fois | |
| | | Céleste Gabrielle Agent Double / Schizophrène
Nombre de messages : 236 Age : 35 Nationalité : Française Emploi : Agent du Vatican/FBI/Fanatique Date d'inscription : 02/11/2006
| Sujet: Re: Bill Johnson Dim 4 Fév - 1:28 | |
| Superbe fiche, allez hop je valide. à toi Ô cauchemar de mes forums (c'est un compliment, si, si. Et c'est indéniable: entre le médecin fou et le parapsychologue à la Lovecraft...! Tremblez, Pjs ). Allez je m'occupe de ton rang/groupe :p | |
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| Sujet: Re: Bill Johnson | |
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| | | | Bill Johnson | |
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