Lucifel, posseseur de death note

Nom : Leïck

Prénom : Raphaël, mais il ne le dit a personne et tout les gens qui le connaissait son morts.

Age : 15 ans

Surnom : (facultatif) Lucifel

Race: Humain

Nationalité : Allemande mais il vit au Japon

Métier : Lycéen

Langue(s) maîtrisée(s): Allemand, et bien sur japonais.

Caractère : (minimum 5 lignes) Toujous très très très calme...Il a le regard toujours lointain et ne parle que quand c'est absolument nécessaire. Il a aussi une facheuse tendance a s'endormir en cours. Il a une agilité et une force hors du commun qu'il a développé pendant toute sa jeunesse en prenant des cours d'arts martiaux.Il est impassible, imperturbable, insensible, indifferent, mystérieux, il aime la poésie et le dessin et il en fait souvent.

Physique : (minimum 3 lignes) Des longs cheveux décolorés avec des mèches noir, un oeil bleu turquoise et un oeil violet. Il est grand d'a peu près 1 mètre 75, il est musclé et plutot fin. Il a des traits délicats mais assez durs a la fois ce qui lui donne ce visage mystérieux, un air toujours très sérieux, voir triste. Il porte souvent une longue veste a capuche quand il n'est pas en uniforme, cette veste déscend en cape, elle est grise et noire. Lucifel porte des bagues ornait de tètes de mort ainsi qu'une bague a armure, un collier auquel pend une croix satanique en argent, un autre collier ou est accroché une sorte de rose noir ainsi qu'un collier a mème le coup en cuir noir. Il a trois boucle d'oreilles a l'oreille gauche et deux a la droite représentant des croix sataniques, ou encore des anneaux



Famille/ennemis/amis : (facultatif) Il n'a aucunne famille, il les a éliminés pour ne pas les avoir dans les pattes. Il n'a pas encore d'amis et ne pensent pas qu'un jour il en aura.

Arme(s) possédée(s) : Death note

Objet(s) possédé(s): Un carnet de poésie ressemblant un peu a la death note

.Histoire : (minimum 25 lignes.) Lucifel avait sept ans le jour ou tout bascula, il rentrait de l'école avec ses amis, tranquillement comme a son habitude, quand il vit une camionnette noire se garer dans le rue et une bande d'individus plutôt louche en sortir. Au début Lucifel n'y prêta que peu attention, des camions se garer tous les jours dans la rue. Il continua donc a marcher jusqu’à ce que son meilleur ami lui tire sur la manche apeuré, tendant la main vers l'arrière du camion cachée avant, Lucifel regarda et vit que sur le camion était dessinée une croix gammée rouge sang. Ses parents lui avait souvent parlé d'horrible histoire quand il n'était pas sage, car a vrai dire ses parents ne l'aimait pas beaucoup, a cause de sa couleur de cheveux, blancs naturellement, c'était des bourgeois qui avait une place très importante dans la vie berlinoise et ne s'occupait jamais du petit garçon il disait.

"Arrête ou les nazis vont venir te chercher, vu tes cheveux sa m'étonnerait pas du tout, il ont toujours détesté le blanc."

Lucifel n'avait que sept ans et était terrifié en repensant a ces paroles acerbes, il prit son bonnet et se couvrit les cheveux entièrement, mais les hommes sortant du camion ne s'intéressaient pas a ses cheveux, il sortirent des pistolets et tirèrent. Lucifel roula a terre et se boucha les oreilles en hurlant, fermant les yeux, sentant un liquide chaud couler en dessous de lui. Il ouvrit les yeux et vit terrifié son meilleur ami et sa copine criblés de balle. Il hurla encore plus fort et vit un des hommes s'approcher de lui. Il se débattit terrifié, ne sachant pas ce que lui voulait les hommes. Le nazi, tendit la main et appliqua un coton sur la bouche du jeune homme. Dans la tète de Lucifel tout tournait, puis tout devint noir.
Il se réveilla dans une salle sombre, seul, et cette affreuse solitude le suivit pendant 7 heures voire plus, Lucifel avait complètement perdu la notion du temps. Au bout de cette interminable attente dans le noire, la porte s'ouvrit, et des hommes entrèrent, les mêmes nazis qu'il avait vu dans la rue. Il avait des bouteilles a la main et plaisantait. Celui qui lui avait fait inhaler le poison s'agenouilla près de lui et éclata d'un rire sonore.

"Pauvre garçon, aux cheveux si laids, tu peux remercier tes parents...Si il n'avait pas arrêter de verser les fonds pour nous financer depuis plus d'un mois, nous n'en serions pas la."
Lucifel pleurer, contrastant avec les rires sadiques du soldat, il pleurait toute les larmes de son corps, ce qui n'émut pas le soldat, pas du tout.

"Tais toi sale mioche"

Lui hurla il, lui faisant sentir son haleine fétide de mauvaise bière. Lucifel ne s’arrêtant pas, le soldat lui asséna un violent coup de poing, et ne se contrôlant plus il continua a le battre lucifel ne voyait plus que le regard animal de l'homme et ne sentait plus que ses énormes poing qui le meurtrissaient. D'un coup l'homme s’arrêta, lucifel le regarda dans les yeux, ses pupilles venait de se dilater. Et l'homme s'écroula...mort par infarctus, il se leva terrifié. Il marcha vers la sale a son opposée, sur le bureau, il n’y avait qu'un tas de poussière et en plein milieu, un petit cahier noir sur lequel on pouvait lire. Death note, lucifel toucha le cahier et caressa l'écriture, comme hypnotisé. Ne sachant pourquoi, sûrement par curiosité il le glissa dans sa veste et il sortit de baraque, sans rien dire, les yeux perdu, les yeux sadiques lui remontrant la scène de son calvaire, les yeux embuées. Lucifel s'écroula par terre, et tout devint a nouveau noir.
Il se réveilla dans un lit d’hôpital, une an plus tard, un an de léthargie ou il n'avait pu faire autre chose que rêver. Des rêves horribles, lui remontrant encore et toujours la même chose. Le visage de son bourreau, la bave aux lèvres tel une bête. Il se leva de son lit, et arracha tout les appareils, malgré les protestations des médecins, il regarda la première infirmière qu'il pu voir et lui demanda.

"ou sont mes affaires?"
"Je vais vous y emmener, suivez moi"

lui répondit elle, comme pétrifiée par le regard vide du jeune homme, elle n'arrivait pas a lui désobéir.
Le jeune homme la suivit sans parler du trajet, ignorant toutes les questions de la jeune femme. Ils finirent par arriver dans une salle remplie de casier, elle lui indiqua le casier ou étaient les siennes et lui tendit la clé. Lucifel alla ouvrir, n'entendant pas que l'infirmière téléphonait. Il prit sa veste et regarda sa poche, l'étrange carnet s'y trouvait, il enfila sa veste et sortit de la salle, vite rattrapée par l'infirmière. Il prit la direction de la sortie mais devant la porte d'autres infirmiers le retinrent et allèrent le faire s’asseoir sur un lit dans la salle libre la plus proche. Il essayèrent de lui expliquer quelque chose mais Lucifel n'écoutait pas.

"Tu vas attendre que l'on fasse venir un monsieur qui vas discuter avec toi."

Puis les hommes sortirent de la salle, Lucifel prit le petit cahier et ouvrit la première page, des instructions étrange étaient écrites en Allemand. Il entama alors la lecture.

Citation :

L'humain dont le nom est écrit dans cet agenda mourra.
cet agenda ne prendra effet que si celui qui écrit connaît le nom et le visage de la personne lorsqu'il écrit le nom, de cette manière les personnes ayant le même nom ne seront pas affectées.
Si la cause de la mort est écrite moins de 40 secondes après avoir écrit le nom, elle se réalisera
Dans le cas contraire, la personne mourra simplement d'une crise cardiaque.

Lucifel pensa au visage de l'homme, il n'y avait pas de causes apparentes a sa mort, il semblait bien avoir fait une crise cardiaque. Lucifel ne s’attarda pas trop et continua la lecture.

Citation :

Après avoir spécifié la cause de la mort, des détails peuvent être ajoutés dans les 6 minutes 40 secondes qui suivent
Cet agenda appartiendra au monde des humains des l'instant ou il touchera le sol de ce monde.
Celui qui possède cet agenda peut voir son premier propriétaire, un dieu de la mort et entendre sa voix.

Lucifel n'avait pourtant aperçu personne.

Citation :

Tout humain qui utilise cet agenda ne peut aller au paradis ou en enfer.
Si on écrit explicitement "crise cardiaque" comme cause de la mort, l'heure de la mort peut être spécifiée à condition d’être écrite dans les 40 secondes qui suivent. De cette manière la mort peut même se produire mois de 40 secondes après l’écriture du nom.
Tout humain qui touche la death note peut voir et entendre le dieu de la mort même si l’humain en question n’est pas celui qui possède l’agenda.
Toute personne possédant une death note sera suivie par le dieu de la mort qui en est propriétaire. Jusqu'à ce qu’elle meure.
Lorsqu’un humain utilise l’agenda, un dieu de la mort apparaît normalement dans les 39 jours qui suivent la première utilisation.
En principe les dieux de la mort propriétaires de death note utilisés par des humains ne font rien qui puisse favoriser ou empêcher les morts qui se produisent a cause de l’agenda.
Un dieu de la mort n’est pas obligé d’expliquer l’utilisation du death note ou les règles qui s’appliquent a celui qui le possède.
Un dieu de la mort peut allonger son espérance de vie en écrivant des noms dans la death note, mais un humain ne peut pas.
Un humain peut écourter sa propre vie en utilisant l’agenda.
L’humain qui est propriétaire du death note peut, en échange de la moitié de ce qui lui reste de vie, obtenir les yeux du dieu de la mort. Ils lui permettront de voir l’espérance de vie et le nom d’autres humains en voyant leur visages.
Un dieu de la mort ne peut pas être tu, même si il est poignardé ou si on lui tire une balle dans la tète. cependant il existe des moyens de tuer un dieu de la mort, qu’ils ne connaissent généralement pas.
La mort ne se produira dans les circonstances décrites que si elles sont physiquement réalisables pour cet humain et si il est raisonnablement plausible que cet humain veuille le faire.
Les dieux de la mort eux mêmes ne connaissent pas les conditions exactes pour que la mort se déroulent dans les circonstances décrites. Il faut donc expérimenter par soit même.
Une page arrachée du death note, ou même un morceau de page, possède les mêmes propriétés et produit les mêmes effets que le death note.
On peut utiliser n’importe quoi pur écrire sur l’agenda tant qu’il est possible d’écrire directement et lisiblement sur la death note avec.
Même les dieux de la mort savent très peu de chose sur la death note.
Il est aussi possible d’écrire la cause de la mort ou/et des détails avant d’écrire le nom de l’individu, a condition que le nom soit écrit devant la cause de la mort. Il peut être écrit au plus tard environ 19 jours après avoir décrit la mort.
Même si celui qui écrit le nom n’est pas le propriétaire de la death note, l’effet sera le même a condition qu’il puisse reconnaître le visage de la personne et connaisse son nom.
La death note n’aura aucun effet sur ceux qui ont moins de 780 jours.
Si le nom d’une personne est écrit avec des erreurs 4 fois, la death note deviendra inefficace contre cette personne.
Suicide est une cause de mort valide. Fondamentalement tous les humains sont considérés comme ayant la possibilité de se suicider. Ce n’est donc pas quelque chose d’inconcevable.
Que la cause de la mort soit un suicide ou un accident, si la mort nécessiterait la mort d’autres personnes, dont le nom n’a pas été inscrit. La victime mourra simplement d’une crise cardiaque. Cela évite que d’autres vies soit influencées.

Lucifel lut les règles sans y croire vraiment, qui croirait a des absurdités pareilles. Alors comment expliquer la mort de ces soldats nazis, il n’y avait aucune raison apparente. Lucifel ne put pas y réfléchir plus longtemps car un homme entra. Il avait des cheveux très courts et un air chaleureux, même carrément hypocrite selon les critères de Lucifel.


Le jeune garçon l’analysa avec dédain, il avait pas l’air futé, lucifel compris que ce mec devait être pédopsychiatre. C’était surement lui celui avec qui il était sensé discuter, mais lucifel n’en avait pas la moindre envie, tout ce qu’il voulait c’était sortir pour tester son cahier.

“Bonjour jeune homme, je suis...”
“Mon psy...”
“C’est éxact, mais je préfère utilisé le therme de...”
“si tu pouvais arréter d’utiliser des thermes tout cours, c’est moi qui préférerai!”
“Je suis désolé, mais c’est mon boulot de parler, et surtout de poser des questions rien que pour rendre service”
“tu tient vraiment a me rendre service?”
“oui évidemment”
“Alors fais moi sortir de la et suicide toi, tu feras plaisir au monde entier...”
“Hum je vois, depuis combien de temps t’es comme sa”
“Pas très longtemps, par contre toi pour ètre un imbécile pareil t’a du t’entrainer des décennies.”
“Soit plus coopératifs si cela ne te dérange pas.”

Mais Lucifel avait finit pas se lasser des répliques cinglantes qu’il lançait a la figure du psy, il ignora sa question et repris le cahier, ce mec l’éxaspérait au possible, c’était le moment révé pour tester l’agenda. Le jeune homme se pencha vers le pédopsychiatre et regarda attentivement sa carte, puis il prit un stylo acroché dans la poche de l’homme et écrivit sur son carnet:

Alex kolocher, se suicide d’un coup de pistolet dans l’hopital Der Malocher à...

Lucifel regarda sa montre, elle indiquait 15h 57.

16h.

Le jeune homme regarda le visage du psy, il lisait par dessus son éaule et prenait des notes sur sn propre carnet, il devait surement analysé ce comportement comme un symptome de folie. Une minute plus tard, le psy se leva et sortit de la salle, lucifel le suivit discrètement. L’homme s’approcha d’un policier qui s’occupait d’un prisonier menoté a un lit d’hopital et lui prit son pistolet. Une cloche retentit au loin, vite suivit d’un coup de feu. En quelques instant ce fut le chaos total dans l’hopital, Lucifel en profita et s’en alla, il reconnut l’endroit ou il se trouvait, l’hopital était a quelques rues de sa maison. De toute manière, le jeune homme n’avait aucunne intention de rester dans cette demeure, il chercherait les choses qui lui serait utiles, comme l’argent de ses parents et s’en irait, avec se carnet se dit il, il pourrai enfin se rendre justice.
Le jeune garçon arriva enfin devant sa gigantesque demeure une quinzaine de minutes plus tard, un an qu’il n’avait pas mis les pieds la dedans, sa ne lui avait pas manqué le moins du monde. Il pénétra dans la villa tout était calme, arrivant dans le salon son père, assis dans un fauteuil de velour une pipe a la bouche ne sembal pas ému, il lui dit d’un ton froid.

“Bonjour Raphaël”

Le jeune homme ne répondit pas, ce qu’il ne se serait pas permis avant de tomber sur ce mystérieux agenda. Le père se leva de sa chaise un air noir, visiblement il n’avait pas aimé que Lucifel l’ignore, il prit sa pipe et lui écrasa les cendres sur les doigts.

“Salue ton père comme il se doit, tu as disparu pendant un an et tu ose ne pas me parler, tu dois me respecter, de plus ta mère est morte pendant ton coma.”

Lucifel haussa les sourcils tentant d’ignorer la douleur des cendres, qu’est ce que sa pouvait bien lui faire que sa mère soit morte, sa lui épargnerai juste d’écrire un nom sur la death note...



(a suivre)